« Cet immense livre qui se tient toujours ouvert devant nos yeux, je veux dire l’Univers […] est écrit dans la langue mathématique », écrit Galilée, figure fondatrice de la science moderne. Le but de cet article est d’interroger ce présupposé tenace en science, selon lequel les notions de réel, de langage et de vérité entretiennent des liens robustes et naturels, jusqu’à se confondre. Nous le mettrons à l’épreuve d’un théorème mathématique qui, de ce point de vue, apparaît très paradoxal.

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