À la suite des événements du Capitole, plusieurs entreprises de réseaux sociaux se sont résolues à fermer les comptes de celui qui était encore le président des États-Unis, fondant leur décision sur les appels à la violence qu’il avait relayés sur leurs plates-formes. Que les commentateurs, analystes et membres de la classe politique approuvent ou non cet ostracisme numérique, ils se rejoignent sur un point : il existe un gouffre béant entre la portée de cette décision et la légitimité de ceux qui l’ont prise.

Lire l'article de Barthélémy Michalon sur The Conversation