dimanche 24 février 2013
Image Effects in Mathematica
Par coyote, dimanche 24 février 2013 à 21:45 - Images numériques
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Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.
dimanche 24 février 2013
Par coyote, dimanche 24 février 2013 à 21:45 - Images numériques
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samedi 23 février 2013
Par coyote, samedi 23 février 2013 à 22:18 - Insolite
La dernière mode dans les cimetières ? Intégrer des QR codes aux pierres tombales afin de faciliter et de rendre plus interactif le devoir de mémoire. Lors de la numérisation, le code lance un site dédié à la personne décédée avec des photos et des témoignages d'amis...
Les personnes déambulant dans les cimetières du Royaume-Uni peuvent depuis peu en apprendre davantage sur les défunts qui les entourent grâce à l'implantation de QR codes sur les pierres tombales de ces derniers. C'est Chester Pearce, une société de pompes funèbres basée à Poole, qui est la première à proposer ce service pour le moment hors du commun aux familles des défunts. Et apparemment, les pierres tombales interactives font un véritable tabac.
Une page web dédiée au défunt
Pour 300 euros, les codes peuvent être gravés au choix sur un petit carré de granit ou de métal avant d'être délicatement apposé sur la pierre tombale. Lors de la numérisation à l'aide d'un smartphone ou d'un périphérique compatible, le code envoie alors l'utilisateur vers une page web dédiée au défunt et pouvant comporter des images, des morceaux de musique, mais aussi des vidéos et même un "wall funeste" pouvant accueillir les contributions des amis et de la famille. "Pour celles et ceux qui ne choisiraient pas l'option de l'enterrement, les QR codes peuvent également être disposés sur les monuments du cimetière ou même sur les bancs", affirme Stephen Nimmo, directeur général de Chester Pearce. "C'est un moyen simple d'honorer la mémoire des défunts avec plus que quelques mots sur une pierre tombale", a déclaré à la BBC S.Nimmo. "Les cimetières sont des lieux très saints - les codes sont très petits afin de ne pas les imposer sur les pierres tombales".
Un procédé utile pour la généalogie
Interrogé sur ses sources d'inspiration, le directeur de la firme déclare avoir découvert l'idée aux Etats-Unis. Un intérêt attisé par une visite de la nécropole du Kremlin à Moscou, lorsqu'il contemple les tombes des anciens présidents. "Je voulais en savoir plus sur leurs vies et je ne pouvais pas. Un QR code aurait été parfait". Gill Tuttiet, habitante de Poole, a été l'une des premières clientes à utiliser la technologie de l'entreprise en l'honneur de son défunt mari Timothy. Selon elle, ce dernier aimait être à la pointe de la technologie. "Il aurait aimé l'idée d'être à l'avant-garde d'un nouveau concept" affirme-t-elle. Elle a ajouté que les QR codes pourraient également être utiles pour les personnes essayant de créer des arbres généalogiques à l'avenir.
Finalement, l'immortalité se trouve peut être un peu dans le numérique...
Source : : Le Monde Informatique
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vendredi 22 février 2013
Par coyote, vendredi 22 février 2013 à 07:47 - Cyberguerre
Une unité secrète de l'armée chinoise serait à l'origine de nombreuses attaques informatiques contre les États-Unis, le Canada et la Grande-Bretagne, selon un rapport publié par la firme de sécurité américaine Mandiant.
Le rapport indique que l'unité 61398 de l'Armée populaire de Chine, basée dans le quartier de Pudong à Shanghai, est responsable depuis 2006 du vol de « centaines de téraoctets de données auprès d'au moins 141 sociétés dans différents secteurs ».
Selon Mandiant, cette unité secrète pourrait regrouper des milliers de membres experts en anglais et en programmation informatique. La firme affirme que de nombreux actes de piratage sont commis contre les États-Unis, et qu'il « est temps de reconnaître que la menace vient de Chine ».
Pour lire le rapport Mandiant, cliquez ici
Les pirates informatiques de l'unité 61398 auraient notamment tenté d'obtenir des informations à propos d'opérations de fusions et d'acquisitions d'entreprises. Des courriels en provenance des États-Unis, du Canada et de la Grande-Bretagne auraient également été interceptés.
Le gouvernement chinois a formellement rejeté les conclusions du rapport de Mandiant. Un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a affirmé que les allégations de la firme sont sans fondement. Pékin réfute régulièrement des accusations de piratage informatique. L'ambassade de Chine à Washington a souligné lundi au quotidien New York Times que le gouvernement chinois considère le piratage informatique comme étant un acte illégal.
Le gouvernement Obama inquiet
La Maison-Blanche confirme avoir pris connaissance du rapport de la firme Mandiant.
Des représentants du gouvernement américain ont contacté des hauts responsables chinois à de nombreuses reprises pour exprimer leurs inquiétudes face à cette problématique. Des membres haut placés de l'administration Obama craignent que les relations entre Washington et Pékin se détériorent, car le nombre et la sophistication des attaques informatiques contre les États-Unis ont considérablement augmenté depuis quelques années.
Le président Barack Obama a signé la semaine dernière une directive qui facilite la collaboration entre le gouvernement et les fournisseurs de services Internet afin de déceler plus facilement les cyberattaques provenant de groupuscules spécifiques.
Médias et réseaux sociaux attaqués
De nombreux médias, dont le New York Times, le Washington Post, le Wall Street Journal et CNN, ont annoncé au cours des dernières semaines avoir été attaqués par des pirates informatiques chinois.
Le New York Times a retenu les services de la firme Mandiant pour déterminer l'origine de l'attaque contre son site web. Mandiant a déterminé que l'attaque venait de Chine, mais que l'unité 61398 de l'armée chinoise n'en était pas responsable.
Les réseaux sociaux Facebook et Twitter ont également subi des attaques informatiques récemment.
Source : Radio-Canada
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jeudi 21 février 2013
Par coyote, jeudi 21 février 2013 à 08:02 - Demain
Voici l'invention qui révolutionne le principe de l'ordinateur. Les chercheurs anglais de l'UCL (University College of London) ont trouvé comment faire de l'ordinateur une machine qui se répare toute seule. Cette technologie a été nommée « ordinateur systémique » et est capable de faire tenir bon un système pourtant dans un état critique. L'application directe peut être pour des drones qui se reprogramment afin de tenir bon après des dégâts au combat ou d'aider à mieux simuler le fonctionnement du cerveau.
Les ordinateurs que vous utilisez actuellement n'imitent que très mal le fonctionnement d'un cerveau avec son réseau de neurones. Les ordres sont en effet traités séquentiellement (un ordre après l'autre). Dans le cerveau, les processus sont distribués, décentralisés et probabilistes. Ils sont aussi très tolérants aux défauts et capables de se réparer seuls. Aucun ordinateur n'en était capable.
Nos ordinateurs actuels suivent une liste d'instructions : une instruction est prise au sein de la mémoire, puis exécutée et le résultat revient dans la mémoire. Ce processus se répète ensuite sous le contrôle d'un programme de comptage. Il est très bon pour manipuler des nombres, mais ce n'est pas adapté pour une activité multitâche. Même si vous avez l'impression en ce moment même que votre ordinateur s'occupe de plein de programmes à la fois, ce n'est qu'un leurre : il concentre son attention sur chaque programme, un par un.
L'ordinateur créé au sein de l'UCL, lui, relie les instructions sur ce qu'il faut en faire ensuite. Un exemple est qu'on relie la température extérieure avec l'action à réaliser s'il fait trop chaud et on divise les résultats en ensembles d'entités digitales nommées « systèmes ».
À chaque système est allouée une mémoire qui contient des données contextuelles ; cela signifie que ces données peuvent interagir uniquement avec d'autres systèmes similaires. Il n'y a pas de programme de comptage et les systèmes sont exécutés par un générateur pseudoaléatoire pour imiter le fonctionnement de la Nature. Les systèmes vont donc réaliser leurs instructions de manière simultanée et aucun système n'est privilégié aux dépens d'un autre. C'est donc du calcul parallèle qui s'opère de manière aléatoire.
L'ordinateur systémique contient des copies multiples des instructions qui sont distribuées sur différents systèmes. Ainsi, si un système devient corrompu, l'ordinateur peut avoir accès à une autre copie intacte pour réparer son propre code. Lorsque votre ordinateur plante parce qu'il ne peut avoir accès à un bit de mémoire, l'ordinateur systémique, lui, continue sans mal, car chaque système individuel possède sa propre mémoire.
On travaille actuellement à apprendre au programme de carrément écrire son propre code en réponse aux modifications de l'environnement.
Source : Sur-la-Toile
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mercredi 20 février 2013
Par coyote, mercredi 20 février 2013 à 22:15 - Robotique
Serons-nous bientôt soignés par des machines ? Deux informaticiens américains ont développé un robot nettement plus fort que les médecins pour diagnostiquer les maladies et proposer le traitement adéquat. L’intelligence artificielle fait un nouveau pas en avant.
Lire l'article sur Futura-Sciences
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dimanche 17 février 2013
Par coyote, dimanche 17 février 2013 à 15:07 - Métiers
En tête du Top 50 des employeurs les plus attractifs au monde, Google est vue comme l'entreprise idéale par bon nombre de jeunes candidats et ingénieurs, pour son environnement de travail "détendu et créatif, son ambiance internationale et ses produits innovants." Mais intégrer ce petit paradis professionnel n'est pas à la portée de tous. On compte 1 seul sélectionné pour 130 candidats. En témoigne l'ouvrage de William Poundstone récemment traduit en français : "Êtes-vous assez intelligent pour travailler chez Google ?
", qui recense tout un tas de questions et problèmes mathématiques posés aux candidats lors d'entretiens d'embauche chez Google mais aussi chez Apple ou Microsoft...
Un florilège d'étranges questions
Des questions de plus en plus ardues au fil des années voire carrément délirantes selon l'auteur, qui explique ce phénomène par la crise. Les entreprises, se retrouvant devant un grand nombre de candidats très qualifiés, finissent par adopter des procédures de sélection parfois invasives... Ainsi William Poudstone identifie plusieurs types de questions, certaines assez classiques et d'autres parfois inattendues.
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jeudi 14 février 2013
Par coyote, jeudi 14 février 2013 à 13:53 - Images numériques
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