Le cyberblog du coyote

 

Extra

Editorial

Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.

mercredi 21 mai 2014

Le président Obama demande aux jeunes Américains d'apprendre l'informatique


Appel lancé en décembre 2013.

jeudi 15 mai 2014

Algorithmes de Exo7Math


Voir la série de 6 épisodes sur YouTube

jeudi 8 mai 2014

Peine de 4,5 ans dans la principale affaire de "sexting" en Suisse

Un homme de 22 ans a été condamné à 4 ans et demi de réclusion mercredi à Horgen (ZH) dans le premier grand procès pour "sexting" en Suisse. Afin de coucher avec une adolescente ou d'obtenir davantage d'images pornographiques de sa part et de deux autres filles, il les avait menacées de publier les images qu'elles lui avaient déjà envoyées.
Le Tribunal de district de Horgen a reconnu l'accusé, domicilié à Bâle-Campagne, coupable de viol, contrainte sexuelle, actes sexuels avec enfant, tentative de contrainte et pornographie. Il a toutefois accédé à la demande de la défense de limiter la peine à 4,5 ans en raison de l'attitude coopérative du prévenu dès son arrestation.

L'accusation fait appel

Le Ministère public avait requis une peine de 6 ans. Le procureur a donc tout de suite annoncé son intention de faire appel du jugement qu'il estime trop clément. La condamnation infligée par la Cour sera commuée en mesures éducatives dans un centre fermé pour jeunes adultes. L'accusé avait reconnu les faits dès le premier interrogatoire qui avait suivi son arrestation en mai 2013.
Devant la Cour, il a exprimé ses regrets et promis d'effectuer "un travail sur lui-même". Le jeune homme purge une peine anticipée depuis l'an dernier.

Des centaines d'images

L'affaire prend source en 2011. La principale victime - une fille alors âgée de 15 ans - envoie au prévenu des photos osées qui la montrent en pantalon moulant, la poitrine partiellement dénudée. Le destinataire ne s'en contente pas. Il veut des images toujours plus explicites et pornographiques.
La jeune fille lui envoie alors presque chaque jour des images à travers la messagerie sur smartphone Whatsapp. Au total, le jeune homme recevra environ 700 images pornographiques et une centaine de vidéos de la part de cette victime. Pour que cette dernière s'exécute, il la menace d'envoyer les images déjà reçues à ses parents, camarades de classe et à son petit ami.

Relations sexuelles sous pression

Le jeune homme a contraint en outre sa principale victime à une centaine de séances de sexe par téléphone. Pire, il obtient sous la contrainte que la fille désespérée et encore vierge ait deux rapports sexuels complets avec lui. Cette pression psychologique vaut au prévenu le fait d'être notamment reconnu coupable de viol.
L'intervention du petit ami de l'adolescente, après qu'il a constaté la détresse de sa copine, a permis finalement l'arrestation du jeune homme. Le prévenu devra verser 25'000 francs à l'adolescente à titre de réparation pour tort moral.
L'accusé a fait chanter deux autres adolescentes de la même manière. L'une d'entre elles a envisagé de se suicider pour échapper à son bourreau. L'autre a menacé le jeune homme de le dénoncer à la police, réussissant ainsi à couper tout contact avec lui.

Source : Romandie.com

vendredi 2 mai 2014

Un élu suisse se laisse tracer pendant six mois

Balthasar Glättli, un conseiller national (l'équivalent des députés) suisse élu sous l'étiquette du parti Vert, a décidé de rendre publiques les données de son téléphone portable sur les six derniers mois.
Le résultat est désormais mis en ligne sur une carte interactive réalisée par l'entreprise OpenDataCity. Ses communications et ses déplacements sont tous renseignés dans une frise qui ne laisse rien passer: posts Facebook, tweets, appels entrants et sortants, email... Les noms des personnes avec qui il a été en contact sont même parfois indiqués. On peut également le tracer jour par jour grâce à un calendrier ou découvrir l'ensemble de son réseau (famille, politiques, journalistes...).
Si Balthasar Glättli a voulu être transparent à ce point, c'est que la Suisse est en passe d'adopter une loi qui vise à surveiller massivement ses citoyens. Pour les alerter, il a donc décidé de répondre par l'absurde.
Cette loi permettrait aux entreprises de télécom helvètes de conserver douze mois et non plus six l'ensemble des communications (portables et Internet) de chaque personne. Cette loi prévoit aussi l'installation de logiciels mouchards sur les équipements connectés. Une pratique déjà bien connue aux Etats-Unis, notamment avec l'affaire de la fausse application Carrier IQ.


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Source : slate.fr