vendredi 31 octobre 2008
Dieu et son ordinateur
Par coyote, vendredi 31 octobre 2008 à 08:43 - Humour
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Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.
vendredi 31 octobre 2008
Par coyote, vendredi 31 octobre 2008 à 08:43 - Humour
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jeudi 30 octobre 2008
Par coyote, jeudi 30 octobre 2008 à 07:27 - Intelligence artificielle
En matière de traduction automatique, la marge de progression est énorme. Discipline complexe mais assurément utile, la traduction par programme est l'objet de nombreuses recherches. Un organisme américain a noté les moteurs de traductions. Dans les premiers rangs, un des grands de l'informatique : Google.
Le rapport a été publié le 1er novembre. Il avait pour objectif de faire un état de l'art dans la traduction automatique. Les exemples choisis ont été des traductions de l'arabe et du chinois (mandarin) vers l'anglais. Les sources à traduire venaient des grandes agences de presse, de newsgroups et des médias traditionels. Le score de chaque traducteur a été évalué avec des méthodes de mesures statistiques, notamment la méthode BLEU de IBM.
Avec les différentes notations, on obtient plus de 20 classements. Cependant, on voit apparaître un acteur bien connu de l'informatique dans les premières places (souvent numéro 1) : Google.
Au lieu de se pencher sur les structures grammaticales et les approches anthropologiques de tout bord (comme tout bon chercheur en linguistique), Google a préféré l'approche statistique et ça marche plutôt bien. L'algorithme découpe le texte en phrases simples. Puis, on recherche des traductions déjà effectuées pour ces phrases simples. Le moteur évalue chaque solution et choisit la meilleure suivant ses statistiques et le contexte. Ce n'est plus la construction grammaticale qui compte mais les données qui ont déjà été traduites dans le passé. Google, expert en moteur de recherche, devient expert en traduction.
Sources : Sur la Toile, NIST 2006 Machine Translation Evaluation Official Results
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mercredi 29 octobre 2008
Par coyote, mercredi 29 octobre 2008 à 07:15 - Insolite
On se dit qu'on est peu de chose avec notre craie et notre tableau noir quand on voit ça :
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mardi 28 octobre 2008
Par coyote, mardi 28 octobre 2008 à 07:45 - Images numériques
Qui n’a jamais rêvé d’ajouter de la couleur à ses vieilles photos noir et blanc ? On peut croire l'exploit impossible. Il a pourtant été réussi par une équipe franco-allemande. Etonnant...
Lors de l’édition 2008 de la European Conference on Computer Vision qui s’est tenue la semaine dernière à Marseille, une équipe de chercheurs (Guillaume Charpiat, Matthias Hofmann et Bernhard Schölkopf) ont présenté une nouvelle méthode permettant de convertir une image noir et blanc en une image couleur. Ce problème est difficile car il n’existe bien sûr pas de correspondance unique entre un niveau de gris et une teinte RVB (rouge, vert et bleu). Il est facile de convertir une photographie en couleurs en un cliché noir et blanc, mais le chemin inverse impose d'ajouter de l'information...
Plutôt que d’utiliser le niveau de gris, les trois chercheurs se basent sur l’information de texture et s'appuient sur une comparaison avec une image, choisie à l'avance, et qui présente des similitudes avec l'image en noir et blanc. Sur cet original, les textures associées aux régions de chaque pixel sont comparées à celles de l'image similaire en couleurs. Il devient alors possible d’établir certaines relations entre les textures des deux images et la couleur.
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lundi 27 octobre 2008
Par coyote, lundi 27 octobre 2008 à 07:21 - Intelligence artificielle
Article de Mathieu Rached paru dans l'édition électronique du Monde du 03.08.07
Deux joueurs de poker américains de renommée mondiale, Phil Laak et Ali Eslami, viennent de se mesurer à un programme informatique littéralement bluffant, baptisé Polaris, mis au point à l'université d'Alberta, au Canada. Les deux humains ont gagné de justesse.
Cette compétition de "Texas Hold'em", variante du poker la plus jouée, a eu lieu à Vancouver, lors de la Conférence annuelle sur l'intelligence artificielle qui s'est achevée le 24 juillet. La quatrième partie, cruciale, après un match nul, une victoire pour l'ordinateur et un gain pour les humains, a tourné à l'avantage des deux humains.
Ils faisaient équipe face à deux programmes jumeaux : les cartes avec lesquelles Phil Laak jouait contre une copie de Polaris étaient les mêmes que celles distribuées à une deuxième version du logiciel qui s'opposait à Ali Eslami. Si Phil perdait à cause de mauvaises "mains" reçues, ses pertes pouvaient être équilibrées par son camarade. La part d'aléa propre aux jeux de cartes était ainsi équilibrée.
"Le poker est plus difficile pour les ordinateurs que les échecs", affirme Jonathan Schaeffer, qui a lancé le programme de recherche "poker" il y a seize ans à l'université d'Alberta. Avec 1018 combinaisons possibles, le challenge technologique paraît pourtant bien faible en regard des 10120 parties possibles au jeu d'échecs, mais c'est compter sans la puissance du bluff, longtemps considéré comme un atout propre à l'homme. "Les mathématiques du jeu prédisent que c'est une erreur de ne pas y avoir recours", souligne cependant Neil Burch, un des concepteurs du logiciel.
Une technique dont peut désormais user la machine : "Quelques "mains" ont la possibilité d'être des bluffs, Polaris le sait et décide alors de les tenter ou pas", précise encore Neil Burch. Pas de capteurs particuliers ni de caméra, le logiciel prend seulement en compte toutes les cartes et les mises d'argent. La technique principale du jeu de Polaris repose sur une "stratégie d'équilibre", qui revient à donner le moins d'argent possible au meilleur joueur.
LA PSYCHOLOGIE EST UNE FAIBLESSE
Qu'en est-il de la psychologie du joueur ? "Le logiciel n'a pas la possibilité d'estimer le caractère et les émotions de son adversaire", précise Neil Burch. "La psychologie, c'est juste une faiblesse humaine", affirme d'ailleurs le laboratoire canadien sur son site.
Contrairement à Deep Blue, le célèbre joueur d'échecs artificiel, Polaris n'avait pas bachoté. Ni les profils des joueurs ni leurs parties types n'avaient été étudiés avant cette première compétition. Un traitement du jeu froid et rigoureux, en somme, purement mathématique, qui a mis en difficulté les deux joueurs professionnels.
Ceux-ci doivent peut-être leur salut à la soif d'expérimenter des pères de Polaris. Les scientifiques ont en effet mis à profit la compétition pour lui faire endosser plusieurs profils dirigés par un logiciel maître, lors des derniers rounds, ce qui a nui à la performance finale.
Si "pour réussir, il ne suffit pas de prévoir, il faut aussi savoir improviser", comme l'a écrit Isaac Asimov, la machine a montré qu'elle était capable elle aussi d'intégrer le facteur chance dans son jeu, de choisir, et de tenir en échec l'homme au poker. Darse Billing, un des concepteurs de Polaris, entend bien améliorer le logiciel, et ne serait "pas surpris qu'il puisse l'emporter prochainement". La machine est-elle impatiente ? On peut encore raisonnablement en douter.
A voir : The University of Alberta Computer Poker Research Group
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dimanche 26 octobre 2008
Par coyote, dimanche 26 octobre 2008 à 09:41 - Internet
My Broadband Speed permet de vérifier la vitesse de connexion à Internet. Il est intéressant de voir la différence entre le "Download" (téléchargement d'un serveur vers votre ordinateur) et le "Upload" (téléchargement de votre ordinateur vers un serveur).
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samedi 25 octobre 2008
Par coyote, samedi 25 octobre 2008 à 09:15 - OC informatique
Les élèves ont abattu un boulot fantastique pendant la semaine OC. Tous les groupes ont réalisé de très beaux sites. Ils les ont mis en ligne sur l'hébergeur gratuit Idoo.com. Un exemple : http://histoire-informatique.idoo.com.
Le reste de la leçon, les moins rapides ont terminé le chapitre 5, tandis que les geeks se sont penchés sur les Olympiades suisses en Informatique.
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vendredi 24 octobre 2008
Par coyote, vendredi 24 octobre 2008 à 08:10 - Sites
Interstices est un site de culture scientifique, créé par des chercheurs pour rendre accessibles à un large public les sciences et technologies de l’information et de la communication.
Il a été lancé en 2004 à l'initiative de l'INRIA, Institut national de recherche en informatique et en automatique. Il se développe dans un partenariat entre l'INRIA, le CNRS, les Universités et l'ASTI, Association Française des Sciences et Technologies de l'Information.
Au-delà de ce que le titre choisi peut évoquer, ce site a pour but de faire connaître la variété des recherches dans le domaine des sciences et technologies de l'information et de la communication. Il rassemble les principaux acteurs de la recherche française dans ce domaine, qui sont invités à participer à la vie de ce site, selon la charte d'Interstices.
L'article sur les pavages de Voronoï et les triangulations de Delaunay m'a particulièrement plu, car il m'évoque de doux souvenirs.
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mardi 21 octobre 2008
Par coyote, mardi 21 octobre 2008 à 08:26 - Intelligence artificielle
Personne à qui parler? Eh bien allez voir ALICE -The Artificial Linguistic Internet Computer Entity, et engagez une conversation. C'est étonnant. Seule condition: parler anglais.
ALICE est un logiciel qui simule une conversation naturelle. Il a reçu le prix Loebner 2004. En 2005, c'est Jabberwacky qui a remporté le premier prix.
Le test de Turing, qui est utilisé pour attribuer le prix Loebner, est une proposition de test d'intelligence artificielle ayant la faculté d'imiter la conversation humaine. Décrit par Alan Turing en 1950 dans sa publication « Computing machinery and intelligence », ce test consiste à mettre en confrontation verbale un humain avec un ordinateur et un autre humain à l'aveugle. Si l'homme qui engage les conversations n'est pas capable de dire qui est l'ordinateur et qui est l'autre homme, on peut considérer que le logiciel de l'ordinateur a passé avec succès le test. Pour l'instant, aucun programme n'a encore passé le test de Turing, même pas Alice.
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lundi 20 octobre 2008
Par coyote, lundi 20 octobre 2008 à 10:59 - Internet
De A comme AJAX à W comme Wiki en passant par M comme Mash-up, voici un glossaire complet des nouveaux termes et acronymes utilisés pour décrire les concepts fondateurs du web 2.0.
Évolution profonde, le web 2.0 recourt à de nombreux termes et acronymes - la plupart nouveaux - pour définir ses concepts fondateurs. Ce glossaire vous permettra de vous y retrouver dans ce nouveau dédale sémantique.
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dimanche 19 octobre 2008
Par coyote, dimanche 19 octobre 2008 à 09:20 - Actu
L’Olympiade Suisse d’Informatique (Swiss Olympiad in Informatics - SOI) est une compétition de programmation pour les jeunes de moins de 20 ans. Depuis 1996, cette compétition propose aux jeunes informaticiens en herbe de tester leurs capacités à programmer. Chaque année, les meilleurs programmeurs suisses sont détérminés en deux tours.
Cette Olympiade forme de plus la délégation suisse pour l'Olympiade Internationale, à laquelle la Suisse prend part depuis 1992 avec beaucoup de succès.
La première ronde des Olympiades Suisses d'Iinformatique 2009 a commencé le 1er octobre 2008. Vous avez jusqu'à fin novembre pour nous envoyer vos solutions. Note: tous les participants officiels au SOI 2009 doivent être nés après le 30 juin 1989, et ne peuvent pas être étudiants à l'université.
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samedi 18 octobre 2008
Par coyote, samedi 18 octobre 2008 à 09:03 - Humour
Un grand classique de l'humour informatique, qui date de plusieurs années.
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vendredi 17 octobre 2008
Par coyote, vendredi 17 octobre 2008 à 09:25 - Insolite
Ceux qui ont vu le film Minority Report, tiré d'une nouvelle éponyme de l'excellent Philip K. Dick, se souviennent de la scène où Tom Cruise fait valser les images et les documents numériques sur une vitre dans une chorégraphie impeccable. Eh bien ce n'est plus de la science-fiction! Microsoft a en effet développé une table numérique époustouflante, comme vous le verrez sur cette vidéo.
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mardi 14 octobre 2008
Par coyote, mardi 14 octobre 2008 à 08:43 - Logiciels / applets
La troisième mouture de la suite gratuite, Open Office 3.0, est désormais disponible dans sa version définitive. Elle apporte de nombreuses améliorations mais pas de grandes nouveautés pour les PC, à part, tout de même, une compatibilité attendue avec la dernière suite de Microsoft, Office 2007. Les Mac sont plus gâtés avec une édition nativement compatible.
Open Office, suite libre et gratuite apportant un traitement de texte, un tableur, un logiciel de présentation, un gestionnaire de bases de données et un logiciel de dessin, continue son évolution. Frontalement concurrente de la suite Office de Microsoft, elle offre à peu de choses près les mêmes fonctions.
La version 3.0 se reconnaît à peine de la précédente, la présentation n'ayant pas été beaucoup modifiée. Mais des fonctions ont été améliorées en de multiples endroits, comme la possibilité d'afficher plusieurs pages avec Writer (le traitement de texte) ou d'afficher 1.024 colonnes avec Calc (le tableur).
La version 3.0 apporte la compatibilité avec le format de fichier nouvellement promu par Microsoft, OOXML, utilisé par la suite Office 2007. Open Office (OOo pour les intimes) en ajoute un nouveau, ODF 1.2 (Open Document Format).
Sur le site d'Open Office, plusieurs versions sont disponibles pour Windows, Linux et Mac OS. Pour les utilisateurs de Mac, la nouveauté est une compatibilité complète. Open Office 3.0, en effet, ne nécessite plus le module logiciel X11, qui permet de faire tourner des applications écrites pour le standard du même nom. Intégré à Mac OS depuis la version 10.5, il était indispensable aux précédentes versions de Open Office. La 3.0 devrait donc être plus rapide sur les Mac.
La ruée est telle sur le site officiel d'OpenOffice que le serveur est saturé...
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lundi 13 octobre 2008
Par coyote, lundi 13 octobre 2008 à 19:44 - Intelligence artificielle
Les robots sont-ils capables de penser? Voilà une question qui fait rêver... Selon Alan Turing, une machine « pense » à partir du moment ou il est impossible de la différencier d'un humain. D'où le fameux test éponyme, qui consiste pour les programmeurs à faire un robot capable de discuter sans que son interlocuteur ne découvre qu'il est une machine.
On estime qu'un robot passe le test si au moins 30 % des testeurs pensent qu'il est humain, après une discussion de 5 minutes pouvant porter sur n'importe quel sujet.
Le Dr Hugh Loebner a créé un concours en 1990 pour récompenser le premier robot qui y parviendrait. Un prix de 100.000 dollars et une médaille d'or seront offerts au gagnant. Si personne ne réussit le test, l'intelligence artificielle la plus convaincante reçoit tout de même 3000 dollars.
Malheureusement, le test n'a toujours pas été passé, ce dimanche, lors de la 18e remise de prix. Mais c'était de justesse, puisque 25 % des interrogateurs humains se sont fait prendre et ont cru que l'agent conversationnel était bien humain! Le gagnant est Elbot, de Fred Roberts.
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dimanche 12 octobre 2008
Par coyote, dimanche 12 octobre 2008 à 10:44 - Insolite
Mathias Wandel a construit une calculatrice en bois, basée sur la notation binaire !
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vendredi 10 octobre 2008
Par coyote, vendredi 10 octobre 2008 à 09:03 - Insolite
Voici deux exemples de désastres causés par une mauvaise gestion des erreurs d'arrondi :
Le 25 février 1991, pendant la Guerre du Golfe, une batterie américaine de missiles Patriot, à Dharan (Arabie Saoudite), a échoué dans l'interception d'un missile Scud irakien. Le Scud a frappé un baraquement de l'armée américaine et a tué 28 soldats. La commission d'enquête a conclu à un calcul incorrect du temps de parcours, dû à un problème d'arrondi. Les nombres étaient représentés en virgule fixe sur 24 bits. Le temps était compté par l'horloge interne du système en 1/10 de seconde. Malheureusement, 1/10 n'a pas d'écriture finie dans le système binaire : 1/10 = 0,1 (dans le système décimal) = 0,0001100110011001100110011... (dans le système binaire). L'ordinateur de bord arrondissait 1/10 à 24 chiffres, d'où une petite erreur dans le décompte du temps pour chaque 1/10 de seconde. Au moment de l'attaque, la batterie de missile Patriot était allumée depuis environ 100 heures, ce qui avait entraîné une accumulation des erreurs d'arrondi de 0,34 s. Pendant ce temps, un missile Scud parcourt environ 500 m, ce qui explique que le Patriot soit passé à côté de sa cible.
Le 4 juin 1996, une fusée Ariane 5 a explosé 40 secondes après l'allumage. La fusée et son chargement avaient coûté 500 millions de dollars. La commission d'enquête a rendu son rapport au bout de deux semaines. Il s'agissait d'une erreur de programmation dans le système inertiel de référence. À un moment donné, un nombre codé en virgule flottante sur 64 bits (qui représentait la vitesse horizontale de la fusée par rapport à la plate-forme de tir) était converti en un entier sur 16 bits. Malheureusement, le nombre en question était plus grand que 32768, le plus grand entier que l'on peut coder sur 16 bits, et la conversion a été incorrecte.
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mercredi 8 octobre 2008
Par coyote, mercredi 8 octobre 2008 à 10:00 - Internet
On le sait, Internet est l'endroit idéal pour propager des rumeurs (hoax en anglais). Comment vérifier l'information ?
Hoaxbuster.com - Ce site français existe depuis mars 2000. Envoyez-lui des e-mails suspects. L'équipe procède aux vérifications avant de publier le résultat de l'enquête sous forme de fiches.
Snopes.com - Un répertoire concis des légendes urbaines classées par thèmes (en anglais).
Hoaxkiller.fr - L'autre base de données francophone. Ici aussi vous pouvez soumettre un hoax pour vérification.
Urbanlegends.about.com - Guide anglophone des légendes urbaines, animé depuis 1997 par le journaliste américain David Emery. On y trouve un quiz photo pour jouer à reconnaître les images truquées.
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