Le cyberblog du coyote

 

Extra

Editorial

Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.

samedi 31 mai 2008

Point Barre

Pointbarre est une émission radio sur Couleur 3 qui passe le samedi de 9 h à 11 h. La première partie est consacrée à l'actualité du numérique, la seconde aux jeux video. On peut l'écouter sur le site de Couleur 3.

vendredi 30 mai 2008

Un robot qui grimpe sur les murs

Il faut le voir pour le croire. Cette curieuse machine de forme rectangulaire, longue de 25 centimètres et épaisse d'environ trois centimètres, reste collée au mur comme si elle était munie d'une ventouse. Mais ses deux pattes arrière, mobiles et évoquant celles de l'araignée, poussent l'engin vers le haut, qui semble défier la pesanteur. La vidéo mise en ligne par ses créateurs le montre grimpant sur un mur intérieur mais ce robot peut aussi s'attaquer à une paroi en bois, une vitre ou un mur de briques. Il vient de s'exhiber à Pasadena, devant les participants réunis pour l'édition 2008 de l'International Conference on Robotics and Automation, organisée par l'IEEE, vaste association d'industriels de l'électronique.


Pour en savoir plus : Futura-Sciences

jeudi 29 mai 2008

Qui pourrait faire sauter Internet ?

Qui pourrait faire sauter Internet ? C'est le titre d'un intéressant article dans la revue Ça m'intéresse No 327 (mai 2008).

mercredi 28 mai 2008

Fausse mort de Philippe Manoeuvre : le suspect interpelé

Il y a quelques semaines, un jeune homme avait annoncé la mort - fausse - de Philippe Manoeuvre sur le site Wikipedia. Jeanmarcmorandini.com vous avait informé que l'intéressé avait décidé de porter plainte.
Selon Numerama, le suspect, âgé de 21 ans, s’est vu confisquer son matériel informatique, et vient d’être placé en garde à vue.
De son côté, Wikipédia déclare: «Il est important que, désormais, les plaisantins sachent qu’ils risquent d’être inquiétés pour toute insertion diffamatoire, fausse ou volontairement biaisée […] et que les plaintes aboutissent à une enquête qui mène à la garde à vue et la saisie du matériel.»

Source : Jeanmarcmorandini.com

mardi 27 mai 2008

Un magnétoscope sur son ordinateur

Le logiciel iWizz permet d'enregsitrer tous les programmes de la TNT en qualité numérique à partir de son ordinateur. Du téléchargement légal. C'est suffisamment rare pour que ce soit signalé. Loin des systèmes eMule ou Bittorrent, iWizz n'a pas pour but de pirater films et séries. Ce logiciel se présente comme un magnétoscope pour PC ou Mac.
Qu'enregistre-t-il ? Tous les programmes de la TNT sans nécessiter de plateforme d'enregistrement ou de tuner TNT. Tout passe par le Net.

17 chaînes
Les chaînes hertziennes sont concernées mais aussi W9, France 4, TMC, Direct 8, NRJ 12, Gulli, NT1... Le logiciel iWizz, développé par la société Wizzgo, présente l'ensemble des programmes des 17 chaînes actuelles de la télévision numérique terrestre jusqu'à deux semaines à l'avance.
Il est possible de choisir son programme par chaîne, par horaire, par genre et par catégorie. Une recherche par mots-clés est également proposée. Et si vous rêvez d'enregistrer un film en particulier, il existe une option pour créer une alerte au cas où ce programme ferait son apparition dans la grille d'une des chaînes de la TNT.

Quelques bémols
Complètement gratuit, iWizz reste cependant limité à 15 heures de téléchargement par mois pour le moment. Autre petit bémol, il faut savoir être patient pour récupérer un enregistrement.
Entre la diffusion et sa mise à disposition dans iWizz, il faut compter plusieurs heures (près de trois heures selon nos premiers tests).

Synchronisation avec iTunes
En revanche, les fichiers sont enregistrés au format Quicktime (.mov), ce qui permet de transférer automatiquement ses enregistrements sur son iPod ou son iPhone.
Une option de synchronisation avec iTunes est même prévue directement dans iWizz. Bien pratique pour visionner ou revisionner sa série préférée dans les transports en commun.

Source : Metro

lundi 26 mai 2008

L'Euro foot en 3D

Fini le ralenti, place à la 3D. Sur l'écran, l'action s'arrête et la caméra effectue des mouvements vertigineux autour du terrain. Cette caméra est bien sûr virtuelle. Les images sont calculées par ordinateur, comme dans un jeu vidéo. Le système se base sur les images des caméras TV. A partir de deux caméras seulement, il peut recréer des milliers de perspectives différentes.

samedi 24 mai 2008

Un robot bondissant inspiré de la sauterelle

Un microrobot mis au point à l'Ecole Polytechnique de Lausanne (EPFL), basé sur le principe du mouvement mécanique des insectes sauteurs, peut faire des bonds équivalents à plus de 27 fois sa taille. Un record. Il est présenté cette semaine lors d'une conférence internationale aux Etats-Unis.


Les chercheurs du Laboratoire de systèmes intelligents de l'EPFL ont dévoilé à la Conférence internationale sur la robotique et l'automatisation (ICRA'08) à Pasadena, en Californie, un robot sauteur inspiré de la sauterelle. Celui-ci pèse à peine sept grammes et peut sauter à une hauteur de 1,4 mètre, soit plus de 27 fois sa taille. Ce microrobot bat de loin les autres engins sauteurs puisque proportionnellement à sa grandeur il parvient à faire des bonds dix fois plus importants qu'eux. A terme, il pourrait être équipé de minuscules capteurs pour l'exploration d'un terrain difficile et inaccessible ou d'opérations de recherche et de sauvetage. «Cette forme biomimétique de saut est unique puisque ces engins pourront se promener sur des terrains où aucun autre robot marchant ou roulant ne peut s'aventurer, explique Dario Floreano, professeur à l'EPFL. Il est envisageable de les équiper de cellules solaires pour recharger leur batterie entre les sauts et de les déployer en essaims permettrait d'effectuer une exploration étendue de zones reculées sur Terre ou sur d'autres planètes».

Un mécanisme de stockage élastique

Les petits animaux sauteurs comme les puces, les criquets, les sauterelles ou les grenouilles possèdent des mécanismes de stockage élastiques qui leur permettent de se recharger lentement puis de relâcher rapidement leur énergie pour le saut. Cette particularité leur donne la possibilité d'exécuter des bonds extrêmement puissants et de très grandes accélérations verticales. Le robot sauteur présenté ici utilise le même principe: il stocke de l'énergie dans un ressort en utilisant un petit moteur électrique entraînant une came. Pour optimiser la performance de saut, les pattes peuvent être ajustées en fonction de la puissance d'impulsion, de l'angle de décollage et du profil de force voulu durant la phase d'accélération. La petite batterie embarquée lui permet de faire jusqu'à 320 sauts à intervalles de 3 secondes.
Ce travail a été présenté par Mirko Kovac le 21 mai à Pasadena, pendant la session «Marche dynamique» de l'ICRA, et le sera dans le «zoo des robots» lors du 4e International Symposium on Adaptive Motion of Animal and Machines à Cleveland, Ohio, le 6 juin.

Pour en savoir plus : Voir des illustrations et vidéos sur le site de l'EPFL.

vendredi 23 mai 2008

Un robot chef d'orchestre

jeudi 22 mai 2008

Du zéro à l'ordinateur

Du zéro à l'ordinateur
Une brève histoire du calcul
Auteur(s): Christian Piguet et Heinz Hügli
Domaine(s): Informatique, Histoire des sciences, épistémologie, Grand Public
Collection: Focus Science

Ce livre expose de manière claire et progressive la façon dont sont nées les idées qui ont conduit à la réalisation des ordinateurs et des microprocesseurs actuels. Il offre au lecteur les clés lui permettant de mieux comprendre la nature et le fonctionnement de ces machines. L'histoire du calcul débute avec l'apparition des systèmes de numération et l'invention du zéro, elle se poursuit avec la conception des premières machines à calculer mécaniques et électro-mécaniques, puis aboutit enfin aux machines électroniques. Ces dernières apparaissent d'abord sous la forme d'ordinateurs primitifs constitués de volumineux tubes à vides, avant d'évoluer vers les machines sophistiquées que nous connaissons aujourd'hui, composées de millions de minuscules transistors en silicium.

mercredi 21 mai 2008

Le Pentagone veut pouvoir détruire tous les sites Internet qui le gênent

Le Pentagone a décidé de se doter d’une unité spécialisée capable de détruire soudainement l’ensemble des sites internet de ses adversaires en cas de conflit.
La « guerre des réseaux » (Network Warfare) est du ressort de l’Armée de l’Air. Elle est dirigée par le général Keith B. Alexander, le patron de la NSA.
La 67ème brigade de guerre des réseaux dispose déjà de plus de 8000 hommes sous le commandement du colonel Joseph Pridotkas. L’un de ses esquadrons sera équipé, d’ici octobre, de puissants robots capables de faire tomber des milliers de sites à la fois. Il s’agit d’appliquer le concept du « tapis de bombes » au cyberspace, indique le colonel Charles W. Williamson dans le dernier numéro de l’Armed Forces Journal.

mardi 20 mai 2008

Informatica 08

La Suisse a connu jusqu’ici de grands succès dans le développement et l’application des technologies de la communication et de l’information. Elle occupe depuis des décennies une position internationale de pointe. L’informatique suisse joue un rôle clé dans l’industrie (industrie des machines, la chimie, etc.) et dans le domaine des prestations de service (les banques, les assurances, le commerce, les transports, l’administration, etc.). La formation nationale et les institutions de recherches ont acquis une réputation mondiale remarquable, particulièrement dans l’informatique. Plusieurs entreprises informatiques leader mondiales entretiennent des centres de recherches et de développement en Suisse ou sont en train de les implanter. La Suisse est un pays fort de l’informatique.
Une position forte nécessite aussi d’être à jour et de se développer. Deux points faibles se manifestent dans l’informatique en Suisse. La formation scolaire générale, y compris gymnasiale, dispense bien des connaissances utilisateur mais non les bases de la science de l’informatique. De plus, chez les spécialistes de l’informatique, la relève est en danger : après un bon développement jusqu’en 2001, le nombre de places d’apprentissage de la formation professionnelle de base à diminué, particulièrement chez les femmes, et le nombre d’étudiants débutants dans les hautes écoles s’est dramatiquement réduit. Ici, la qualité et la quantité de la relève en informaticiens en Suisse constituent une question d’avenir, particulièrement si l’on considère les activités « offshoring » et « outsourcing ». C’est pourquoi il y a l’année de l’informatique 2008, Informatica08 !
Le patronage, l’organisation et les mécènes d’informatica08 veulent assurer à moyen et à long termes la position forte de l’informatique suisse. Nous coopérons à cette initiative commune pour mieux faire prendre conscience de l’importance décisive de l’informatique pour le développement de l’économie et de la société et, plus particulièrement, d’éveiller l’intérêt de la jeunesse pour l’informatique comme science attractive et comme champ professionnel à long terme. Notre campagne s’adresse à la population suisse tout-entière. Nous promouvons avec des projets spéciaux la formation de base en informatique dans les écoles publiques et du secondaire, l’attraction d’une bonne relève pour l’étude et l’apprentissage de l’informatique comme aussi l’intérêt à la recherche. Nos soucis particuliers vont à la promotion de la femme en informatique. De plus, nous nous engageons pour l’accès aux moyens informatiques des handicapés sans aucune barrière.

lundi 19 mai 2008

SSIE

SSIE est l'acronyme de Société Suisse pour l'Infomatique dans l'Enseignement. Elle a pour but de développer l'enseignement de l'informatique au double point de vue de la science et de la recherche méthodologique et pédagogique et d'offrir à ses membres l'occasion d'échanger des idées, des expériences et des informations. Elle se préoccupe également de l'utilisation didactique de l'ordinateur dans toutes les disciplines.

dimanche 18 mai 2008

Quel langage pour apprendre à programmer ?

La première question que je me suis posée à propos de l'OC informatique est : quel est le meilleur langage pour apprendre à programmer ? Ce langage devait selon moi satisfaire plusieurs critères :

  1. il devait avoir une syntaxe simple ;
  2. il devait être très lisible, afin de pouvoir débugger facilement les programmes des élèves ;
  3. il devait être multi-plateforme et gratuit, afin que les élèves puissent l'installer et l'utiliser chez eux ;
  4. il devait avoir les fonctionnalités des langages orientés objets.
Après quelques heures de recherche sur Internet, le langage qui m'a paru le meilleur et qui satisfait toutes mes conditions est Python. Cerise sur le gâteau, on trouve sur le web un livre téléchargeable gratuitement et extrêmement bien fait.
Vous trouverez tout mon cours Python sur mon site www.apprendre-en-ligne.net/python/. Je suis en train d'écrire les corrigés manquants du livre.

Je suis tout à fait conscient qu'au poly ou à l'uni, les élèves programmeront plutôt en C++ ou en Java, mais à mon avis, ces langages ne sont pas adaptés à l'apprentissage. D'autre part, les langages de programmation, c'est comme les langues : plus on en connaît, plus c'est facile d'en apprendre d'autres.

samedi 17 mai 2008

Worldwide telescope

Le service Worldwide telescope de Microsoft, annoncé par la firme de Redmond comme une révolution dans l'approche de l'astronomie, sera probablement disponible en version finale avant la fin du mois selon Bill Gates en personne. A l'instar de Google Sky, désormais intégré à Google Earth, le service de Microsoft permettra à l'internaute de naviguer virtuellement au milieu des étoiles et des galaxies, grâce à l'agrégation et à la mise en forme de milliers d'images en provenance des plus grands télescopes, qu'ils soient sur Terre ou spatiaux, comme c'est le cas de Hubble. Cette cartographie de l'espace sera accessible à tous et de façon totalement gratuite, promet Microsoft.
« Le Wordwide Telescope prend les meilleures images des meilleurs télescopes, sur Terre et dans l'espace et les assemble en une vue holistique de l'univers. Ce nouveau service changera la façon dont on pratique l'astronomie, dont on enseigne l'astronomie... et surtout, je pense qu'il changera la façon dont nous concevons l'univers » promet Roy Gould, du centre d'astrophysique de Harvard, qui a collaboré à l'élaboration de cette application.
Disponible en version bêta, l'application de Microsoft n'est pour l'instant pas complètement achevée, ce qui peut expliquer les relatives lenteurs ressenties au chargement de certains clichés, la navigation étant en revanche assez fluide et agréable et les menus plutôt complets.