Le cyberblog du coyote

 

Extra

Editorial

Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.

jeudi 25 février 2010

Leçon 2.21

Test de 55 minutes sur le codage de l'information (sans les codes correcteurs que je n'aurai pas le temps de faire cette année).
Ensuite, début du chapitre "bases de données" : introduction et conception grâce au modèle entité-association. Les élèves installeront EasyPHP sur leur clé USB pour la prochaine leçon.

mercredi 24 février 2010

AlgoBox

AlgoBox est un logiciel libre, multi-plateforme et gratuit d'aide à l'élaboration et à l'exécution d'algorithmes.

  • Le code de l'algorithme est construit à partir d'un mini-langage algorithmique ("pseudo-code") qui se veut simple à comprendre et à utiliser (mis à part les fonctions mathématiques, les instructions sont en français). L'utilisateur n'a donc pas à apprendre toute une syntaxe complexe.
  • Le code de l'algorithme se construit pas à pas de façon hiérarchique et structurée grâce à des instructions de base que l'on insère en cliquant sur les boutons de l'interface : l'utilisateur se concentre ainsi sur l'algorithme lui-même et il est fortement incité, par le fonctionnement même du programme, à faire preuve d'un minimum de rigueur. AlgoBox n'utilise pas un éditeur de texte classique et une grande partie du code est inséré automatiquement : l'activité de l'utilisateur consiste donc plus à réfléchir aux instructions qu'il doit utiliser qu'à aligner des lignes de code.
  • Tous les algorithmes élaborés dans la fenêtre principale du programme peuvent être exécutés et testés en deux clics.
  • AlgoBox permet aussi l'exécution d'algorithmes en mode "pas à pas pédagogique".
  • Des exemples d'algorithme sont fournis avec le programme (menu "Fichier" -> ouvrir un exemple)
  • En plus d'une sauvegarde classique, le code l'algorithme peut être imprimé et exporté sous forme de fichier texte. (pour les professeurs, il est aussi possible d'exporter le code de l'algorithme sous la forme d'un document LaTeX)
  • L'algorithme peut aussi être exporté sous la forme d'une page web autonome dans laquelle il est possible de l'exécuter (cette page web étant en fait une copie conforme de la fenêtre de test du programme). Les algorithmes élaborés peuvent donc être très facilement inclus dans des sites internet.
  • AlgoBox fonctionne de façon totalement autonome et ne nécessite aucune installation complexe d'environnement de programmation.Le programme existe pour les systèmes Linux, MacOsX et Windows et peut-être installé facilement sur les postes personnels des élèves et des professeurs : il ne nécessite l'installation d'aucun programme supplémentaire. (il peut aussi être installé sur les postes d'un réseau pédagogique sans droits d'administrateurs et il peut fonctionner sur une clef USB)
Adresse du site : www.xm1math.net/algobox/

vendredi 19 février 2010

Quand le temps passé dans le virtuel dépasse celui du réel

Une étude de Virgin Mobile Canada a montré que pratiquement un tiers des jeunes passe plus de temps sur leur téléphone mobile et à surfer sur Facebook qu'avec leurs compagnons ou compagnes. Les téléphones portables et les réseaux sociaux prennent donc sur le temps consacré au couple et au romantisme. Cela se confirme avec ce fait : une personne interrogée sur cinq n'a pas célébré le jour de la Saint-Valentin. Les femmes sont davantage susceptibles de passer plus de temps avec leur téléphone ou sur Facebook que leur partenaire.

Source : Sur-la-Toile

dimanche 14 février 2010

Les ados abandonnent les blogs pour les réseaux sociaux

On pourrait presque croire que le phénomène du blog est sur le déclin. En effet, un rapport vient de paraître : chez les jeunes, les réseaux sociaux sont devenus les moyens préférés pour communiquer sur la toile. Aux États-Unis par exemple, seulement 14 % des adolescents (12-17 ans) utilisant Internet continuent d'alimenter un blog. Ils étaient 28 % en 2006.
De même, les commentaires sur les blogs ont chuté chez les jeunes adultes (18-29 ans) de 76 % en 2006 à 52 % tout dernièrement. Les plus âgés continuent par contre de le faire aux États-Unis : un adulte sur 10 alimente un blog. Parmi les connectés sur la toile, 70 % des adolescents et jeunes adultes et 47 % des adultes utilisent les réseaux sociaux en ligne. Si Facebook est le plus populaire chez les plus âgés, les adolescents continuent de préférer Myspace ; l'utilisation de Twitter décolle, mais ils ne sont encore que 8 % chez les adolescents à l'utiliser (pour comparaison, les jeunes adultes sont, eux, près de 33 % à le faire).

Source : Sur-la-Toile

samedi 6 février 2010

SixthSense: quand vos doigts vous servent d'ordinateur

Les moyens pour interagir avec nos produits technologiques (consoles, ordinateurs...) ne cessent d'évoluer. Initialement nous nous servions que d'un clavier pour les ordinateurs, puis la souris a vu le jour. Ont suivi différentes manettes jusqu'à la venue de la Wii qui a permis de détecter les mouvements de ces manettes. A l'époque du tactile ou des dispositifs de reconnaissance de mouvements, les projets fusent afin de se passer de tout matériel. Mais à ce jour nous ne nous passions pas d'écran.
Samedi dernier, une solution a été présentée à Paris, où se tenait l'évènement TEDx (Technology, Entertainement and Design). En effet, parmi les multiples conférences, celle donnée par Pranav Mistry, un chercheur de 28 ans membre du Media Lab au MIT (Massachusetts Institute of Technology) était particulièrement impressionnante.


Son invention porte le nom de SixthSense. Cet ordinateur portable du futur permet à son utilisateur d'interagir avec lui comme il intéragit avec le monde physique qui l'entoure, de façon très intuitive. Sa composition est simple: un mobile haut de gamme, un appareil photo, un picoprojecteur, une webcam et quatre dés en plastique colorés. Les périphériques ont la particularité de se porter sur soi. Le mobile se fixe sur la ceinture, l'appareil photo se place sur la tête de l'utilisateur. Le picoprojecteur et la webcam se suspendent au cou, et les dés en plastique se portent sur les pouces et index des deux mains.
L'essentiel du fonctionnement est dans le logiciel intégré au mobile: il communique avec la webcam qui suit et interprète les mouvements des dés colorés. Par exemple, si les doigts se dirigent vers l'avant, le projecteur s'allume et affiche une image sur la première surface plane qu'il croise. Lorsque les pouces et index se rejoignent pour former un rectangle, l'appareil photo se déclenche. Si un index dessine un @ dans l'air, le mobile accède au courrier électronique et lit les mails avec son interface vocale. La webcam analyse ce qui se trouve devant elle: en reconnaissant un livre devant elle, elle tentera de lire le titre et se connectera sur le site d'Amazon pour accéder à des informations complémentaires, comme l'auteur, la date de parution, et le prix du livre. Si le projecteur affiche une image, les mouvements des doigts pourront zoomer sur une partie, comme on le fait sur un écran tactile multipoints. Pranav Mistry présente également une application de calculatrice permettant d'afficher les chiffres sur les doigts, et les résultats sur la paume.
L'utilisation peut être très variée: prendre des photos, surfer, téléphoner, ou encore projeter des images sur n'importe quelle surface. Ces exemples ne sont qu'une représentation des applications développées à ce jour, mais on peut en imaginer bien d'autres, d'autant plus que SixthSense est un logiciel libre.
Pranav Mistry prévoit de faire évoluer prochainement ce système en retirant les dés colorés. Le prix de revient de ce système serait inférieur à 350 dollars (environ 250 euros), sans le téléphone. Développé en seulement cinq mois, Sixthsense vient de gagner un prix par la revue Technology Review (éditée par le MIT). Aucune information n'a été communiquée à ce jour quant à sa commercialisation.



Source : Techno-Science

jeudi 4 février 2010

Leçon 2.20

Fin du travail sur le traitement des images.
Test la semaine de la rentrée sur le codage de l'information (sans les codes correcteurs ni la compression que nous n'aurons pas le temps de voir cette année) et la sécurité informatique (chapitre que les élèves liront à la maison).

mercredi 3 février 2010

Citation de Dave Small

Un langage de programmation est une convention pour donner des ordres à un ordinateur. Ce n’est pas censé être obscur, bizarre et plein de pièges subtils. Ca, ce sont les caractéristiques de la magie.

Dave Small - ST magazine