Sans les montrer, Kyïv (Kiev) affirme avoir des preuves que la Russie est l'auteur des cyberattaques contre ses sites gouvernementaux. Selon Microsoft, cette attaque, sous la forme d'un malware déguisé en ransomware, serait bien plus importante et toucherait de nombreuses agences et organisations gouvernementales ukrainiennes.

Lire l'article de Louis Neveu sur Futura