Deux ans après avoir plongé un data center composé de 800 serveurs au large de l'Écosse, Microsoft l'a remonté à la surface pour observer les effets de l'eau sur ses serveurs. Premier constat : au-delà d'être plus écologique, c'est aussi plus fiable sur le plan technique.

Lire l'article de Fabrice Auclert sur Futura