Le cerveau reste le roi des ordinateurs. Les machines les plus sophistiquées qui s’en inspirent, dites « neuromorphiques », comprennent aujourd’hui jusqu’à 100 millions de neurones, soit autant que le cerveau d’un petit mammifère.
Ces réseaux de neurones et de synapses artificiels sont à la base de l’intelligence artificielle. On peut les émuler de deux façons : soit avec des simulations par ordinateur, soit avec des composants électroniques reproduisant neurones et synapses biologiques, assemblés en « neuroprocesseurs ».
Ces approches logicielles et matérielles sont maintenant compatibles, ce qui laisse entrevoir des évolutions drastiques dans le domaine de l’IA.

Lire l'article d'Alain Cappy sur The Conversation