Dès la préhistoire, l’être humain a commencé à stocker des informations, par exemple grâce aux hiéroglyphes et pétroglyphes. L’apparition des premiers ordinateurs dans les années 1940 a marqué les débuts du stockage numérique. De la carte perforée des premiers temps aux solutions de stockage sur des clouds à l’heure actuelle, de nombreux supports se succèdent, évoluant en taille et en robustesse. Ceux-ci doivent permettre de stocker des quantités de données toujours plus importantes, tout en garantissant un accès à ces données sur le long terme. L’obsolescence de certains supports est un risque considérable pour notre mémoire collective.

Lire l'article de Delphine Billouard-Fuentes sur The Conversation