En France comme en Belgique francophone, les femmes sont de nos jours plus nombreuses dans la population étudiante, et davantage diplômées de l’enseignement supérieur que les hommes. Si on prend en compte l’ensemble des disciplines scientifiques, la parité est quasi atteinte.
Mais, alors que les femmes sont largement majoritaires (60 % à 70 %) dans le domaine des sciences de la vie, de la santé, en médecine, en pharmacie, elles restent minoritaires (20 à 30 %) dans les domaines à forte composante mathématique, en particulier dans les formations d’ingénieurs et en informatique.
La situation n’a d’ailleurs guère évolué au cours de la dernière décennie. Pourquoi les jeunes femmes se détournent-elles des études en maths, sciences de l’ingénieur et technologie ?

Lire l'article de Doriane Jaegers et Dominique Lafontaine sur The Conversation