D’ici cinq à dix ans, pour assurer (en partie) notre cybersécurité, nous n’aurons plus besoin de mémoriser un mot de passe complexe mêlant chiffres, lettres et caractères spéciaux. C’est notre corps qui servira de mot de passe. De l’empreinte digitale à la voix en passant par la fréquence cardiaque et la force de frappe, passons en revue les pistes à l'étude pour remplacer le mot de passe.

Lire l'article de Juliette Michel sur Usbek & Rica