Le gouvernement de Donald Trump n'a cessé, au cours de son mandat, de minimiser la cybermenace russe. Mais à deux mois des élections, de nouveaux indicateurs pointent vers un pic d'activité des hackers responsables de l'attaque contre l'équipe de campagne d'Hillary Clinton en 2016.

Lire l'article de François Manens sur Cyberguerre