Le blog-notes mathématique du coyote

 

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Editorial

Ce blog a pour sujet les mathématiques et leur enseignement au Lycée. Son but est triple.
Premièrement, ce blog est pour moi une manière idéale de classer les informations que je glâne au cours de mes voyages en Cybérie.
Deuxièmement, ces billets me semblent bien adaptés à la génération zapping de nos élèves. Ces textes courts et ces vidéos, privilégiant le côté ludique des maths, pourront, je l'espère, les intéresser et leur donner l'envie d'en savoir plus.
Enfin, c'est un bon moyen de communiquer avec des collègues de toute la francophonie.

samedi 22 octobre 2011

Plus de naissances à la St-Valentin qu'à l'Halloween

Les futures mamans semblent éprouver certaines réticences à donner naissance le jour de l'Halloween. Cette fête leur inspire-t-elle une quelconque aversion au point qu'elles préfèrent devancer ou retarder le jour où bébé naîtra? Une étude menée par l'Université de Yale conclue en la volonté de ces femmes de ne pas accoucher la journée de cette fête automnale.
Lors de la Saint-Valentin, fête de l'amour, on note un accroissement de 3,6% d'accouchements naturels ainsi que de 12,1 % de naissances par césarienne. D'autre part, il en est tout autrement lors de la fête de l'Halloween alors que le nombre de naissances spontanées décroît de 5,3 % et de 16,9 % dans le cas des naissances par césarienne. Ces résultats proviennent de données recueillies aux Etats-Unis.
La joie et les beaux sentiments entourant la fête de la Saint-Valentin ravivent le désir des mamans de donner naissance en ce jour dédié à l'amour. Le côté mystérieux et quelque peu funeste de la fête de l'Halloween n'incite pas les mères à désirer que leur enfant naisse en ce jour sombre. Selon l'avis des chercheurs qui initièrent cette étude, les sentiments éprouvés par les futures mères auraient une incidence sur le mécanisme hormonal déterminant le moment où le petit naîtra.

Source : Sur-la-Toile

mardi 18 octobre 2011

La pilule change le choix des femmes

On avait remarqué par de nombreuses expériences que les femmes avaient tendance à ne pas préférer les mêmes hommes selon leur « position » dans le cycle menstruel. En simple et en caricaturant un peu : une femme qui ovule a tendance à chercher de « bons gênes » fournis par un homme a la mâchoire carrée et bâti comme une armoire à glace (et coureur de jupons et narcissique) tandis qu'en dehors de cette période, celui qui compte est plutôt l'homme rassurant par sa capacité à rester fidèle et à soutenir la (future) famille par des efforts constants.
Oui, mais quid des femmes qui sont sous pilule (en état non fertile permanent) ? Des expériences en laboratoire semblaient confirmer l'hypothèse : une préférence (moyenne) permanente pour des hommes rassurants ; exit les machos !
Il fallait maintenant une étude qui voit ce qui se passe en réalité. Il s'est avéré que ces femmes sous pilule (en moyenne) font plus facilement le compromis d'avoir une piètre vie sexuelle contre une vie rassurante. Le chercheur ose un conseil qui est le suivant : si une femme veut être sure de son choix avant de s'engager fermement (comme pour un mariage), le mieux est qu'elle revienne à l'état « naturel » pendant un temps pour ne pas regretter ultérieurement son choix. Elle ne sera pas ainsi artificiellement et inconsciemment manipulée par des hormones...

Source : Sur-la-Toile