On avait remarqué par de nombreuses expériences que les femmes avaient tendance à ne pas préférer les mêmes hommes selon leur « position » dans le cycle menstruel. En simple et en caricaturant un peu : une femme qui ovule a tendance à chercher de « bons gênes » fournis par un homme a la mâchoire carrée et bâti comme une armoire à glace (et coureur de jupons et narcissique) tandis qu'en dehors de cette période, celui qui compte est plutôt l'homme rassurant par sa capacité à rester fidèle et à soutenir la (future) famille par des efforts constants.
Oui, mais quid des femmes qui sont sous pilule (en état non fertile permanent) ? Des expériences en laboratoire semblaient confirmer l'hypothèse : une préférence (moyenne) permanente pour des hommes rassurants ; exit les machos !
Il fallait maintenant une étude qui voit ce qui se passe en réalité. Il s'est avéré que ces femmes sous pilule (en moyenne) font plus facilement le compromis d'avoir une piètre vie sexuelle contre une vie rassurante. Le chercheur ose un conseil qui est le suivant : si une femme veut être sure de son choix avant de s'engager fermement (comme pour un mariage), le mieux est qu'elle revienne à l'état « naturel » pendant un temps pour ne pas regretter ultérieurement son choix. Elle ne sera pas ainsi artificiellement et inconsciemment manipulée par des hormones...

Source : Sur-la-Toile