Les doigts du pianiste se promènent sur le clavier. Ses mains s’éloignent et se rejoignent. Les auditeurs se laissent envelopper par les sons du piano. Douze notes. Sept pour les touches blanches : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires : Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#.
Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf ? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l’alphabet de la musique occidentale. Les musiques issues d’autres cultures peuvent aussi souvent être décrites à l’aide de ces douze notes. Coïncidence ? Transmission culturelle ? Choix particulièrement agréable à l’oreille parmi les possibles ?

Lire l'article de Laurent Evain sur The Conversation