| Travaux en mathématiquesOn lui doit la notion de nombre de Kaprekar ainsi que l'algorithme de Kaprekar. Boudé par ses contemporains, ses travaux seraient passés inaperçus s'il n'avait pas été relayés par Martin Gardner, spécialiste des énigmes mathématiques.
Vers 1949, travaillant sur l'écriture des nombres, il découvre la constante de Kaprekar : le nombre 6174 (=7641-1467) vers lequel converge toute suite construite avec un nombre de quatre chiffres et l'algorithme de Kaprekar.
Travaillant sur un autre algorithme, «ajouter à un nombre la somme de ses chiffres en écriture décimale», il découvre la notion de nombre généré et d'auto nombre.
Kaprekar s'est aussi intéressé à une autre catégorie de nombres : les nombres de Demlos.
Enfin, il a étudié les nombres de Kaprekar : nombre égal à la somme des deux nombres obtenus en prenant le carré du nombre de départ et en le découpant en deux parties.
Exemple : 9 est un nombre de Kaprekar car 92 = 81 et 8 + 1 = 9.
Il contribue aussi à la découverte des nombre Harshad appelés aussi nombres de Niven : nombre divisible par la somme de ses chiffres.
|