Le cyberblog du coyote

 

Extra

Editorial

Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.

mardi 21 janvier 2025

Alan Turing : l’esprit brillant qui a changé le cours de l’histoire moderne

Mathématicien visionnaire, père de l’informatique moderne et héros méconnu de la Seconde Guerre mondiale, Alan Turing a posé les fondements théoriques de nos technologies numériques actuelles.

Lire l'article de Camille Coirault sur Presse-Citron

vendredi 10 janvier 2025

Alan Turing : de l’ordinateur à l’IA, parcours d’un génie des maths

Connu du grand public grâce au film Imitation Game (2014), Alan Turing est un mathématicien anglais né en 1912. Ce film retrace une période marquante de sa vie, au cours de laquelle il a joué un rôle primordial dans le décryptage des messages de l’armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais la richesse de ses recherches va cependant bien au-delà de son apport à la victoire alliée : pionnier de l’informatique et de l’intelligence artificielle, il reste une figure marquante encore de nos jours.

Lire l'article de Delphine Billouard-Fuentes sur The Conversation

mardi 14 février 2023

Alan Turing | Comment les maths ont vaincu Hitler | ARTE


Documentaire de Denis van Waerebeke (France, 2014, 1h)

Disponible jusqu'au 30/05/2023

vendredi 18 novembre 2022

Captcha Alan Turing

mardi 1 mars 2022

La machine de Turing (théâtre)

Cette pièce de théâtre, couronnée de 4 Molières, sera présentée à la Salle de l'Inter, à Porrentruy, le vendredi 4 mars à 20h.


Texte de Benoit Solès, inspiré par la pièce de Hugh Whitemore BREAKING THE CODE basée sur ALAN TURING: The Enigma d’Andrew Hodges

Jeu: Benoit Solès et Amauruy de Crayencour

Mise en scène: Tristan Petitgirard

Coproduction: Atelier Théâtre Actuel, Acme, Fiva Productions et Benoit Solès

C’est l’incroyable destin du mathématicien qui a brisé le code secret de l’Enigma allemande pendant la seconde guerre mondiale. Alan Turing est un être atypique et hypersensible qui cherche à comprendre le code de la nature, à percer les plus grands mystères, et qui invente une machine pensante, genèse de l’ordinateur actuel. Contraint au silence par les services secrets, il est condamné pour homosexualité, avant d’être retrouvé mort, allongé sur son lit, à l’âge de 41 ans. Voici le destin hors du commun d’un génie injustement resté dans l’ombre et broyé par la machine bien-pensante de l’Angleterre des années 50. Le destin d’un homme qui a changé le monde !

85 min.

4 Molières 2019: Auteur francophone, Metteur en scène, Comédien et Spectacle de théâtre privé.

jeudi 3 février 2022

Des chercheurs ont retrouvé un enregistrement de la première musique jouée sur ordinateur

Des chercheurs de l’université de Canterbury en Angleterre sont parvenus à restaurer un enregistrement de 2 minutes de la BBC de la première musique générée par ordinateur grâce à un programme développé par Alan Turing, le légendaire cryptologue britannique connu pour son rôle majeur dans le décryptage du code de la machine Enigma utilisée par les nazis pour crypter leurs communications pendant la Seconde Guerre mondiale.

Lire le billet de Byothe sur son blog

vendredi 14 janvier 2022

Machine de Turing

Codez puis faites exécuter des animations lumineuses attrayantes, des calculs mathématiques sur des nombres binaires, des séries de nombres, ou tout autre application que vous inventerez à loisir ! Dispositif conçu en France par un ancien professeur de Physique Appliquée.


Voir le site officiel

lundi 13 septembre 2021

Non, le logo d’Apple n’est pas un hommage au mathématicien persécuté Alan Turing

Une rumeur tenace veut que le choix de Steve Jobs, son fondateur mort en 2011, se soit porté sur une pomme en hommage à Alan Turing, pionnier de l’informatique, qui avait réussi à casser les codes de la machine Enigma utilisés par les Allemands pour crypter leurs messages pendant la seconde guerre mondiale. Turing était homosexuel et a été condamné à ce titre à de la prison pour « atteinte aux bonnes mœurs ». Il s’est suicidé en 1954 en avalant du cyanure ; une pomme croquée avait été retrouvée à ses côtés.

Lire l'article de Séverine Maublanc sur Le Monde

dimanche 18 octobre 2020

De l’origine de nos ordinateurs : la machine de Turing


Voir aussi la chaîne Youtube de Marc Raynaud.

samedi 17 octobre 2020

Turing

Pour se préparer à la pièce de thèâtre "La machine de Turing".

samedi 22 septembre 2018

Grande traversée : l'énigmatique Alan Turing

D’Alan Mathison Turing (1912-1954), le grand public n’a longtemps rien su. En quelques années, Turing est devenu la figure rêvée du génie scientifique maltraité par les conventions morales d’une époque.

Ecouter les 4 podcasts d'Amaury Chardeau sur France Culture.

lundi 22 janvier 2018

Les learning machines de Turing | IA 7

lundi 18 décembre 2017

La machine de Turing | IA 4

mardi 12 décembre 2017

Le test de Turing (ft. Macroscopie) | IA 3

lundi 2 février 2015

The Imitation Game : et si vous préfériez l’original ?

2012 a été l’année du centenaire de la naissance d'Alan Turing. Cette icône de l’informatique a été célébrée dignement. A la fin du mois, sort un film biographique sur Turing, un blockbuster, « The Imitation Game ». Binaire se devait d’accompagner l’événement et a donc demandé leurs réactions à plusieurs amis. Nous démarrons avec Jean Lassègue, philosophe des sciences. Il remet en jeu quelques idées reçues. Serge Abiteboul.

Lire l'article sur Binaire.

mercredi 7 janvier 2015

Imitation Game, un film qui rend hommage à Alan Turing

Alan Turing a changé l'histoire de l'humanité de deux façons. D'abord en posant les bases de l'informatique et des ordinateurs modernes et ensuite en permettant aux Alliés de décrypter les messages secrets des armées nazies pendant la seconde guerre mondiale. Le film qui va sortir sur les écrans sous le titre d'Imitation Game narre cette partie de la vie du grand mathématicien. Il rend hommage à cet homme que son pays a probablement conduit au suicide en 1954 en le condamnant pour son homosexualité.

Le 07/01/2015 à 13:42 - Par Laurent Sacco, Futura-Sciences

On a fêté en 2012 le centenaire de la naissance d’un des pères de l’informatique, le mathématicien et physicien Alan Turing. Dans la foulée des hommages à un homme injustement persécuté par la justice britannique de son époque, peu de temps après la seconde guerre mondiale, un biopic lui a été consacré. Le film va sortir sur les écrans français sous le titre Imitation Game le 28 janvier 2015.
Ce titre fait référence au fameux test que Turing a proposé en 1950 dans un article théorique sur l'intelligence artificielle intitulé Computing Machinery and Intelligence. Le test de Turing est revenu sur le devant de la scène récemment quand il a été faussement annoncé que le chatbot Eugene Goostman, un logiciel censé simuler une conversation, l'avait passé.


Le film raconte l'histoire hors-norme d'Alan Turing, le mathématicien anglais qui aida à percer le code de l'outil de communication des Allemands durant la seconde guerre mondiale : la machine Enigma. © StudioCanal France, YouTube

Clarke et Turing, un tandem de mathématiciens contre Enigma

Pour tenir le rôle de l’un des plus grands génies du XXe siècle, britannique de surcroît, il n’y avait probablement pas de meilleurs choix que son compatriote Benedict Cumberbatch, connu pour son interprétation dans l'adaptation contemporaine de Sherlock Holmes par la BBC du début des années 2010. Pour lui donner la réplique l’actrice Keira Knightley joue quant à elle le personnage de Joan Clarke.
Mathématicienne de formation et même wrangler (bagarreur) de l’université de Cambridge, ce qui veut dire qu’elle était arrivée dans le peloton de tête de l’examen final de la licence de mathématique de cette université (elle a majoré simultanément celle de lettres), Joan Clarke ne pouvait pas officiellement se targuer de ce diplôme selon les règles de l’époque.

La réhabilitation de Turing demandée par Hawking

Son intelligence et ses compétences en cryptologie vont toutefois charmer Alan Turing lorsqu’ils se rencontrent. Celui-ci proposera même le mariage à Joan Clarke avant de changer d’avis quelques mois plus tard. Ensemble, ils travaillent sur un projet ultrasecret mis en place par les autorités britanniques pendant la seconde guerre mondiale. Il s’agissait de casser les codes secrets des messages de l’armée allemande nazie, cryptés à l'aide d'une machine électromécanique portable appelée Enigma. Les hommes et les femmes chargés de cette mission étaient rassemblés au domaine de Bletchley Park. C’est là que Turing, inspiré par des travaux de mathématiciens polonais, va mettre au point une autre machine qualifiée de « Bombe électromécaniques » capable de déchiffrer les messages d’Enigma. Ce faisant, il a contribué de façon très significative à la victoire sur les forces de l'Axe en permettant de connaître, notamment, les communications avec les sous-marins allemands qui tentaient de mettre en place un blocus de l'Angleterre.
Imitation Game ne retrace pas seulement cette partie de la vie d’Alan Turing, parfois de façon romancée, mais aussi sa jeunesse et les circonstances de sa mort. Plusieurs éléments laissent en effet à penser qu’il s’est suicidé en 1954 des suites d’un soi-disant traitement de castration chimique qui lui avait été imposé en 1952 lorsqu’il est devenu public qu’il était homosexuel. Il s’agissait d’un délit grave selon les lois britanniques de l’époque. Le gouvernement ne fit d'ailleurs rien pour protéger Turing puisque ses contributions à la victoire sur l’Allemagne nazie devaient rester secrètes.
Celles-ci ne seront connues que bien des années plus tard et il faudra attendre 2009 pour que soient présentées des excuses officielles et que le savant soit réhabilité, en partie sous la pression d’une pétition lancée par onze scientifiques, dont Stephen Hawking lui-même.

Source : Futura-Sciences

mardi 10 juin 2014

Non, Eugene Goostman n'a pas passé le test de Turing...

Eugene Goostman est un adolescent ukrainien de 13 ans... C'est du moins ce qu'ont cru des personnes discutant en ligne quelques minutes avec lui. Il n'est en réalité qu'un programme d'ordinateur. Organisée dans les locaux de la célèbre Royal Society britannique par l'University of Reading, l'expérience a été présentée comme le premier test de Turing passé de façon convaincante par un chatbot. Il semble que cette affirmation soit très exagérée.

Si l’on en croit le communiqué de presse de l’University of Reading, un événement majeur dans l’histoire de l’intelligence artificielle s’est produit récemment dans les locaux de la fameuse Royal Society. Un ordinateur aurait réussi le mythique test de Turing en se faisant passer pour un adolescent ukrainien de 13 ans. Sur 30 personnes discutant chacune pendant cinq minutes avec l’ordinateur, le tiers aurait estimé parler avec un être humain authentique, du nom d'Eugene Goostman.
L’annonce a été rapidement relayée par la toile mondiale, ce qui n'est pas surprenant. Pour beaucoup, l’affirmation qu’un ordinateur est capable de passer le test de Turing revient à dire qu'une machine est capable de penser et d’être consciente comme un être humain. Le corollaire d’un tel événement est que la singularité technologique prédit par le gourou du transhumanisme Ray Kurzweil à l’horizon des années 2040 serait en fait imminente.


Si l'on compare le cerveau humain à un ordinateur, on peut en arriver à la conclusion que le jour ou la puissance de calculs de ces machines sera suffisamment importante, et avec des algorithmes appropriés, il devrait être possible de fabriquer une machine pensante et consciente. Elle passerait alors le test de Turing. Un corollaire est qu'il devrait être possible de faire une copie de la conscience et de la mémoire d'une personne avec un superordinateur comme dans le film Transcendance, qui sortira en salle le 25 juin 2014. © Cinémas Gaumont Pathé

Eugene Goostman, un agent conversationnel et pas Hal 9000

La réalité semble bien différente et plusieurs critiques se sont élevées, soulignant les limites et les exagérations du communiqué de l’University of Reading. Il y a d’abord le fait qu'Eugene Goostman n’est pas un superordinateur, comme cela avait été présenté initialement, mais un programme, un agent conversationnel, un chatterbot, ou chatbot en anglais, c'est-à-dire un logiciel destiné à simuler un certain niveau de conversation avec un interlocuteur. Il a commencé à être développé en 2001 par un groupe d’informaticiens russes et ukrainien, en l'occurrence Vladimir Veselov, Sergey Ulasen et Eugene Demchenko. Eugene Goostman est un habitué des compétitions où des chatterbots tentent de se faire passer pour des être humains. Ainsi, à l’occasion du centenaire de la naissance d’Alan Turing en 2012, Eugene a réussi à tromper 29 % des personnes impliqués dans les conversations qu’il a eues, là aussi, avec 30 personnes. En deux ans, son score est donc passé de 29 % à 33 %, ce qui n’est guère impressionnant.
De plus, ce n’est pas la première annonce de réussite du test de Turing par un agent conversationnel. Ce fut le cas en 2011 pour Cleverbot. Le score annoncé était même supérieur à celui d’Eugene mais il est vrai que le temps imparti pour les discussions avec le programme était plus court. Le communiqué de l’University of Reading reconnaît d’ailleurs que d’autres agents conversationnels ont été présentés comme ayant déjà passé le test de Turing. Mais c’est pour les discréditer aussitôt en affirmant par exemple que, contrairement au cas présent, il existait des restrictions sur les questions et les sujets que pouvaient aborder les interlocuteurs discutant avec les autres chatterbots. Il est difficile de prendre cette affirmation au sérieux car, d’entrée de jeu, Eugene est présenté comme un adolescent ukrainien de 13 ans discutant avec des anglophones de naissance. Cette information biaise forcément le jugement des humains impliqués dans le test en les rendant plus indulgents avec les réponses d’Eugene.
Tout comme pour Cleverbot, il existe une version en ligne d’Eugene Goostman. Avec elle, comme plusieurs personnes l’ont constaté, il n'est guère difficile de comprendre en quelques minutes à qui, ou plutôt à quoi, on a affaire. On retrouve la technique habituelle des agents conversationnels existant depuis des décennies, c'est-à-dire des réponses évasives et des tentatives de faire dévier la conversation dans une direction plus ou moins incongrue avec des questions lorsque l’on atteint les limites du programme. Cela ne peut tromper qu’un enfant ou un interlocuteur peu attentif et peu impliqué dans la conversation. La version ayant prétendûment réussi le test de Turing devrait donc être considérablement plus étoffée.

Un faux test de Turing

Il y a plus grave, comme le fait remarquer fort justement sur son blog Jean-Paul Delahaye, mathématicien et professeur bien connu d'informatique à l'université de Lille I. On peut affirmer que le test de Turing n’a en réalité pas encore été passé du tout (en tout cas pas au sens fort), que ce soit par Eugene Goostman, par Cleverbot ou un autre agent conversationnel. C’est aussi ce qu’affirme dans une interview Murray Shanahan, professeur de robotique cognitive au fameux Imperial College de Londres.
En effet, dans l’article original de Turing, il n’est pas affirmé que son test consistait à ce qu’un ordinateur puisse se faire passer pour un être humain pendant 5 minutes de conversation auprès d’au moins 30 % d’un groupe de personnes. Il estimait juste que l’évolution des capacités des ordinateurs et des programmes permettrait d’arriver à ce résultat à l’horizon des années 2000. Ce qu’il avait en tête, c’est qu’en l’absence d’une définition claire de l’intelligence et de la conscience, on pourrait prendre pour critère opératoire parfaitement défini pour savoir si une machine peut penser comme un humain d'exiger qu'il soit absolument impossible de faire la différence entre elle et une personne lors d'une discussion. Le grand mathématicien n’a donc posé aucune limite de temps, d’âge ni de sujets de conversations. Ceci constitue le vrai test de Turing. On en est encore très loin...
Une chose semble certaine en revanche. Il devient de plus en plus facile de tromper et donc de manipuler quelqu'un sur Internet pendant un court laps de temps avec un agent conversationnel. Il y a donc du souci à se faire de ce côté face à la cybercriminalité.

Source : Futura-Sciences

mercredi 12 juin 2013

Cédric Villani parle d'Alan Turing

dimanche 12 mai 2013

Alan Turing : une vie, un héritage

Alan Turing est considéré aujourd’hui comme le pionnier de l’informatique. Il laisse un héritage incomparable dans le monde scientifique et au-delà : lorsqu’en 1936, il résout le problème de décision, cette question fondamentale de logique, l’ère du numérique s’amorce. En 1939, Alan Turing se met au service du décryptage des codes secrets allemands qui évitera l'inavasion du Royaume-Uni. Mais son géni ne s’arrête pas là, et traverse les champs scientifiques : intelligence artificielle, morphogenèse, mathématiques… Pourtant, la carrière de ce brillant scientifique ne durera que 20 ans : en 1952, accusé d’homosexualité Alan Turing est condamné à la castration chimique qu’il préférera à la prison. Il est retrouvé mort deux ans plus tard à coté d’une pomme empoisonnée. Retour sur la vie d’un génie, père de l’informatique, de ses apports et rapports à la science.

Ecouter l'émission la tête au carré du 1er mai 2013 sur France Inter.

vendredi 28 septembre 2012

Le test de Turing remporté par un « bot » de jeu vidéo

Un « personnage virtuel » de jeu vidéo a réussi à remporter le BotPrize en arrivant à convaincre un panel de juges qu'il était plus humain que la moitié des autres compétiteurs vraiment humains, eux. La compétition a été réalisée avec le jeu « Unreal Tournament 2004 » (UT), un FPS très connu.
L'idée était de faire en sorte que les personnages dirigés par l'ordinateur, les « bots », puissent apparaître comme les plus humains possible. Les joueurs devaient éliminer les adversaires et disposaient à la fois d'une arme classique et d'un « canon de jugement ». Cette arme spéciale devait permettre d'identifier et d’étiqueter soit un adversaire humain, soit un adversaire dirigé par l'ordinateur.
Les bots qui ont réalisé la meilleure performance ont atteint une « humanité » de 52 % alors que la moyenne des joueurs humains avait eu 40 % à cette note donnée par l'arme. Deux équipes de programmeurs ont gagné et se sont partagé la récompense de 7000 dollars.
Les programmeurs arrivent de plus en plus à imiter l'aspect « irrationnel » des humains dans leur comportement dans le jeu. Par exemple, il arrive souvent qu'un joueur humain pourchasse un ennemi jusqu'à son extermination, même si cela n'est pas intéressant pour les points... Ces progrès ne devraient pas servir que pour les jeux, mais pour les environnements virtuels en général par exemple.

Source : Sur-la-Toile