Le cyberblog du coyote

 

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Editorial

Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.

lundi 28 mars 2011

Le robot mouette hyper-réaliste

Voici un des drones volants les plus étonnants du moment. Il est capable de voler et de se poser de manière autonome. Il peut aussi bouger sa tête et son empennage pour se diriger. L'oiseau robot est modélisé pour voler comme le vrai. Il a été conçu par la firme allemande Festo dans le cadre de son Bionic Learning Network program qui implique différentes universités américaines et européennes afin d'utiliser les atouts de la nature pour le développement de systèmes mécatroniques. Le prototype est encore bien plus grand que le modèle biologique avec ses deux mètres d'envergure.


Les ailes battent de bas en haut, mais un système de levier permet un degré de déflexion. L'aile conserve toujours un angle d'attaque positif. L'empennage agit à la fois pour l'orientation verticale et latérale.

Source : Sur-la-Toile

dimanche 27 mars 2011

Des robots-souris résolvent des labyrinthes complexes

Connaissez-vous la Micromouse Robot Competition ? Elle se tient tous les ans au Japon et récompense de petits robots qui doivent retrouver le plus rapidement possible leur chemin dans un labyrinthe composé de cases.
Depuis les années 1970 sévit une discipline à peu près inconnue en France : la micromouse. Cette compétition est pourtant très populaire au Royaume-Uni, au Japon, en Inde et en Corée du Sud. L’épreuve consiste à fabriquer un petit robot, la souris (mouse), qui doit trouver le centre du labyrinthe le plus rapidement possible. La compétition se déroule en deux étapes : l’apprentissage et le run. Mais regardez plutôt en image.


Les « souris » sont extrêmement rapides et fluides. © RobolaBon, Youtube

Le labyrinthe est un grand plan carré de 2,88 mètres carrés composé de seize cellules de 180 millimètres de côté par 50 millimètres de hauteur. Les cellules ont tendance à se multiplier avec les années, complexifiant la compétition. Le petit robot ne doit pas excéder 250 millimètres de large et de long. En revanche, il n’y a pas de hauteur limite. Il ne peut pas endommager les murs (ce qui serait trop facile) et il doit utiliser des sources d’énergie non polluantes.

Comment font-ils pour reconnaître leur chemin?

Ils se basent sur un algorithme. Le A*(A star) est un algorithme de recherche de chemin. Il l’indique d’ailleurs très rapidement mais n’indique pas nécessairement la solution optimale. Autrement dit, pour aller d’un point à un autre, le robot commence par se diriger vers le point d’arrivée. Il choisit donc la cellule la plus proche de l’arrivée au détriment d’autres cellules. Cependant, il les garde quand même en mémoire pour les utiliser en cas d’impasse. La méthode de l’algorithme de remplissage par diffusion est différente. Chaque case possède une valeur au départ qui est égale au nombre minimal de cases à parcourir pour rejoindre l’arrivée s’il n’y avait pas d’obstacles. En avançant dans chaque case, l’algorithme recalcule la valeur de la case en fonction des obstacles et des cases voisines. Donc, quand il a parcouru la totalité du labyrinthe, il donnera le chemin le plus faible, autrement dit celui qui aura la valeur la plus faible.

Source : Futura-Sciences

vendredi 4 mars 2011

Le robot basketteur