Le cyberblog du coyote

 

Extra

Editorial

Ce blog a pour objectif principal d'augmenter la culture informatique de mes élèves. Il a aussi pour ambition de refléter l'actualité technologique dans ce domaine.

mercredi 25 octobre 2017

Des chercheurs auraient réussi à connecter un cerveau à Internet

C’est une grande première dans le monde du web et de la technologie : des chercheurs de l’université Wits à Johannesburg seraient parvenus à connecter un cerveau à internet. C’est en tout cas ce qu’affirme le groupe de scientifiques à l’origine de l’exploit dans un communiqué officiel rapporté par le site spécialisé Medical Press le 14 septembre 2017.

Lire l'article sur fredzone.org

dimanche 21 février 2016

Un support pour stocker les données de l'humanité pour l’éternité ?

En combinant les nanotechnologies et un laser femtoseconde, des chercheurs britanniques ont créé un système de stockage optique susceptible de durer 13,8 milliards d’années. 360 téraoctets de données peuvent tenir dans un disque en verre un peu plus grand qu’une pièce de monnaie.

Lire l'article sur Futura-Sciences.

samedi 28 novembre 2015

L'impression 3D pour construire une base lunaire


Source : ESA

vendredi 13 février 2015

Les mille et une applications de la réalité augmentée

Avec la réalité augmentée, le monde réel et le monde virtuel s’entremêlent. Ces données viennent compléter les informations que l’Homme perçoit habituellement de son environnement. Tour d'horizon des différentes possibilités.

Lire le dossier de Futura-Sciences

lundi 29 décembre 2014

L'impression 3D pour créer des prothèses esthétiques et abordables

William Root, un designer industriel, a initié un projet qui consiste à fabriquer des prothèses de jambes qui soient esthétiques, légères et peu onéreuses. Pour cela, il associe des techniques 3D de numérisation, de modélisation et d’impression. La prothèse devient plus humaine et presque belle à regarder...

Lire l'article sur Futura-Sciences

vendredi 26 décembre 2014

Des ménisques imprimés en 3D pour sauver les genoux des sportifs

Des chercheurs de l’université de Columbia aux États-Unis ont réussi à implanter du cartilage imprimé en 3D à des moutons, une avancée qui pourrait rapidement bénéficier à l’homme.
Le ménisque est un petit cartilage en forme de C situé entre le fémur et le tibia, chaque genou en compte deux. Les lésions méniscales sont l’une des blessures du genou les plus communes. À ce jour, il n’existe pas de moyen pour régénérer des ménisques abîmés. Dans les cas les plus graves, l’ablation est préconisée, ce qui scelle définitivement la fin de la carrière des sportifs qui se retrouvent sans ce précieux amortisseur entre le fémur et le tibia, selon le directeur d’une étude publiée dans la version en ligne de Science Translational Medicine, le professeur Jeremy Mao.
Par le passé, des équipes de chercheurs ont essayé de remplacer les ménisques endommagés par des tissus provenant d’autres parties du corps ou de personnes décédées, mais les résultats n’ont pas été concluants et de telles procédures sont jugées très risquées par la communauté médicale.

Un ménisque imprimé en 30 minutes

C’est pourquoi le docteur Mao s’est tourné vers l’impression 3D. Grâce à des scans de ménisques intacts de moutons réalisés par IRM, le chercheur les a converti en image 3D, pour ensuite les programmer dans une imprimante 3D. En l’espace de 30 minutes, celle-ci a réussi à produire une prothèse imitant la forme exacte du cartilage. À noter que les ménisques de mouton sont très proches de ceux de l’Homme.
La consistance de la prothèse se rapproche aussi de celle du vrai ménisque grâce au polycaprolactone, un polyester biodégradable utilisé dans la composition du fil chirurgical. Pour que le corps ne rejette pas cet implant, les chercheurs ont par ailleurs ajouté des protéines humaines à sa composition. Une fois l’implant chirurgical réalisé dans le genou du mouton, le docteur Mao et son équipe ont noté que le ménisque se régénérait en quatre à six semaines, la prothèse se dissolvait et était éliminée naturellement par le corps.
L’expérience a été menée sur 11 moutons, ils marchaient tous normalement trois mois après l’intervention chirurgicale.

Source : Futura-Sciences

samedi 25 octobre 2014

Les imprimantes 3D : une révolution ?

De la nourriture, des organes, des maisons et bientôt même des voitures ? L’imprimante 3D, le gadget geek par excellence, se démocratise. A la portée de tous, elle entre dans nos foyers. Sommes-nous à l'aube d'une mutation ? Cette nouvelle technologie qui nous permet de produire des objets à la maison sera t-elle la troisième révolution industrielle ?

Voir le dossier d'Arte

vendredi 20 décembre 2013

Futurologie : IBM prévoit le big data et des ordinateurs bienveillants

Dans son rapport annuel 5 in 5, IBM détaille cinq évolutions technologiques qui devraient partie de notre quotidien dans cinq ans. Big Blue parie que l’analyse et l’interprétation des données personnelles permettront aux machines de mieux nous connaître, afin de nous assister plus efficacement pour apprendre, consommer, nous soigner, nous protéger ou nous déplacer. Le superordinateur Watson joue un rôle central dans ces développements.

Lire l'article sur Futura-Sciences

lundi 3 juin 2013

Google se lance dans les ordinateurs quantiques avec D-Wave Systems

La société D-Wave Systems prétend depuis des années être en mesure de commercialiser des calculateurs quantiques avec plus de 100 qubits intriqués. La communauté scientifique est majoritairement sceptique, mais Google vient d'annoncer qu'il a acheté l’un de ces calculateurs et que la Nasa l'utilisera aussi.

Lire l'article de Laurent Sacco sur Futura-Sciences

jeudi 21 février 2013

L'ordinateur qui ne plante jamais

Voici l'invention qui révolutionne le principe de l'ordinateur. Les chercheurs anglais de l'UCL (University College of London) ont trouvé comment faire de l'ordinateur une machine qui se répare toute seule. Cette technologie a été nommée « ordinateur systémique » et est capable de faire tenir bon un système pourtant dans un état critique. L'application directe peut être pour des drones qui se reprogramment afin de tenir bon après des dégâts au combat ou d'aider à mieux simuler le fonctionnement du cerveau.
Les ordinateurs que vous utilisez actuellement n'imitent que très mal le fonctionnement d'un cerveau avec son réseau de neurones. Les ordres sont en effet traités séquentiellement (un ordre après l'autre). Dans le cerveau, les processus sont distribués, décentralisés et probabilistes. Ils sont aussi très tolérants aux défauts et capables de se réparer seuls. Aucun ordinateur n'en était capable.
Nos ordinateurs actuels suivent une liste d'instructions : une instruction est prise au sein de la mémoire, puis exécutée et le résultat revient dans la mémoire. Ce processus se répète ensuite sous le contrôle d'un programme de comptage. Il est très bon pour manipuler des nombres, mais ce n'est pas adapté pour une activité multitâche. Même si vous avez l'impression en ce moment même que votre ordinateur s'occupe de plein de programmes à la fois, ce n'est qu'un leurre : il concentre son attention sur chaque programme, un par un.
L'ordinateur créé au sein de l'UCL, lui, relie les instructions sur ce qu'il faut en faire ensuite. Un exemple est qu'on relie la température extérieure avec l'action à réaliser s'il fait trop chaud et on divise les résultats en ensembles d'entités digitales nommées « systèmes ». À chaque système est allouée une mémoire qui contient des données contextuelles ; cela signifie que ces données peuvent interagir uniquement avec d'autres systèmes similaires. Il n'y a pas de programme de comptage et les systèmes sont exécutés par un générateur pseudoaléatoire pour imiter le fonctionnement de la Nature. Les systèmes vont donc réaliser leurs instructions de manière simultanée et aucun système n'est privilégié aux dépens d'un autre. C'est donc du calcul parallèle qui s'opère de manière aléatoire.
L'ordinateur systémique contient des copies multiples des instructions qui sont distribuées sur différents systèmes. Ainsi, si un système devient corrompu, l'ordinateur peut avoir accès à une autre copie intacte pour réparer son propre code. Lorsque votre ordinateur plante parce qu'il ne peut avoir accès à un bit de mémoire, l'ordinateur systémique, lui, continue sans mal, car chaque système individuel possède sa propre mémoire.
On travaille actuellement à apprendre au programme de carrément écrire son propre code en réponse aux modifications de l'environnement.

Source : Sur-la-Toile