A qui appartient les contenus produits à la sueur d’un front humain? Pas aux entreprises d’IA qui s’en servent pour alimenter leurs modèles de langage, tempêtent les industries concernées, grands journaux en tête. Echaudés par la révolution du web, ils craignent de se faire piller sans contrepartie, et durcissent le ton pour avoir leur part du gâteau. Les prétoires sont d’ores et déjà l’objet de luttes homériques qui façonneront le futur du secteur.

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