Beaucoup de mathématiciens et de physiciens théoriciens sont aussi des musiciens. L'idée qu'il existe une beauté mathématique aussi émouvante et bouleversante que l'Hyperion de Hölderlin, le David de Michel-Ange ou la Symphonie no 7 de Ludwig van Beethoven n'est pas nouvelle. Elle vient d'être confirmée grâce à l'IRM, qui montre que les zones du cerveau qui s'activent lorsqu'un mathématicien ressent la beauté d'une équation ou d'une théorie sont les mêmes que lors d'une expérience intense devant la beauté d'une œuvre d'art.

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