En convertissant les compositions de Johann Sebastian Bach en réseaux mathématiques, des chercheurs avancent que ces dernières contiennent de grandes quantités d’informations (au sens mathématique) et les transmettent très efficacement aux auditeurs. En outre, les œuvres du genre choral, entre autres, seraient selon eux moins informatives que celles destinées à surprendre et à divertir, telles que les toccatas. Cette nouvelle méthode d’étude mathématique de la musique pourrait aider les compositeurs dans leurs processus de création ou être appliquée à d’autres formes d’art pour quantifier le contenu informationnel.

Lire l'article de Valisoa Rasolofo & J. Paiano sur Trust my science